GRAINEau vous propose une assistance à maitrise d’ouvrage et des formations pour votre personnel, pour la mise en œuvre de chantier avec la traction animale.

Ces formations sont en partenariat avec l’association « Débardage au Cheval et Environnement » qui est un regroupement de meneurs  professionnels.

• Dans la gestion des ripisylves, nous avons vécu des extrêmes avec la mécanisation à outrance puis une main d’œuvre issue des emplois de solidarité. Mais il existe aussi, entre les deux, le débardage avec des chevaux !
• Le Lauzon  : des berges très longues à 45% de pente et une ripisylve large et très dense. Les chevaux ont l’avantage de se faufiler dans le peuplement et d’y stocker les bois sans avoir à créer de chemin d’accès ou de plate forme de stockage. Une pente forte mais régulière de berges ne pénalise pas le débardage.
• L’Estoublaisse : des gorges inaccessibles, et une ripisylve vieillissante qui nécessite des coupes de restauration pour limiter le bois emporté vers l’aval.Les chevaux n’ont pas de problème d’accès, ils se déplacent dans le même encombrement qu’un homme debout. Les bois sont sécurisés entiers dans le peuplement, hors de portée des plus hautes eaux de crue.
• L’Estoublaisse (photos ci-dessous) traverse un village dans un contexte de berges aménagées par des digues, canaux et ouvrages anciens. Les chevaux permettent un travail précis qui évite des dégradations sur les ouvrages existants. Quel que soit le peuplement, la maniabilité des chevaux fait merveille dans ce contexte de traversée de village.
• Le Largue : rivière torrentielle avec des berges érodées et une ripisylve très dense.Les chevaux permettent une éclaircie sélective pied par pied en respectant les bois qui ont de l’avenir et en limitant les ouvertures de chemin. Cet exemple s’applique sur tous les boisement denses de 20 à 50 cm de diamètre.
• Le Ratier : petite rivière torrentielle avec des berges verticales érodées. Les arbres sont abattus en travers sans avoir à les remonter.